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  Bienvenue en leucodermie, au pays des mythomanes, mégalomanes et autres psychopathes !
 

Bienvenue en leucodermie, au pays des mythomanes, mégalomanes et autres psychopathes !

akwaba

En leucodermie, près de 99 % des écrits historiques dévoilent les déviances psychologiques de leurs auteurs.

Bienvenue en leucodermie, au pays des mythomanes, mégalomanes et autres psychopathes !

 

Après avoir analysé un bon nombre de dictionnaires, d’ouvrages historiques et de revues de vulgarisation scientifique, on constate que l’eurocentrisme dogmatique cache probablement une maladie mentale.

En effet, si on en croit ces écrits, l’Europe seule et en particulier comme disent certains penseurs européens « la race blanche », en comptant exclusivement sur ses propres moyens intellectuels et humains, aurait fait germer la civilisation et toutes les sciences connues à ce jour (comme par magie, d’où le recours à la fourberie du( Miracle grec )Il convient donc aujourd’hui, d’analyser cette déviance historique à la lueur de la psychiatrie.

1- Que disent les dictionnaires médicaux ?

Lors de la consultation d’un dictionnaire médical, mon attention s’est portée sur trois définitions qui, en y regardant de près, désignent parfaitement les acteurs de l’eurocentrisme dogmatique, ces gens qui influencent négativement les jugements esthétiques des peuples occidentaux vis-à-vis des peuples africains et génèrent indéniablement en occident le racisme, les discriminations, l’immigration choisie et le repli sur soi, bref la «  White Supremacy » !

a) Description de la maladie psychologique dite « Mégalomanie » :

La mégalomanie consiste en la surestimation de ses capacités physiques, intellectuelles… Les sujets atteints cherchent à se bâtir un cadre racial, philosophique, théologique, historique, biologique sans fondement scientifique avec lequel ils vont chercher à affirmer leur supériorité sur d’autres sujets.

La mégalomanie se traduit par un désir immodéré de puissance, de conquête et un amour exclusif de soi. Elle masque probablement un profond manque affectif, une jalousie chronique voir une difficulté à se mettre en osmose avec autrui et avec la biodiversité que le sujet atteint ne perçoit qu’à travers les termes « domination, exploitation ».

En psychiatrie, la mégalomanie est classée dans la famille des psychoses délirantes chroniques. On la nomme couramment « Folie des grandeurs ».

Intrusion dans le cerveau d’un mégalomane leucoderme

Le sujet atteint de mégalomanie se croit investi d’une mission divine, vouloir devenir roi, dominer le monde, conquérir les territoires étrangers, maitriser l’autre, dominer l’autre...

Ainsi, à propos du « mégalomane » disent les spécialistes, il se voit plus grand qu’il n’est en réalité ou qu’il ne l’a été. Il surestime constamment ses capacités intellectuelles, physiques, sociales ou amoureuses et falsifie les faits pour assouvir ses pulsions.

Il est persuadé d’être seul doué d’une vaste intelligence. Dans son délire de grandeur, il s’identifie aux plus grandes civilisations (Egypte, Mésopotamie, Grèce) et aux plus grands personnages (Ramsès II, Akhenaton...).

Son crédo : je suis le prince des anges, le justicier du monde, je commande à des millions d’hommes, je suis la conscience du monde, la lumière des hommes, le seul vrai prophète et le suprême élu.

L’intuition, l’imagination, les fausses interprétations suffisent à alimenter son délire.

b) Description de la maladie psychologique dit « Mythomanie » :

En psychologie, la mythomanie est une tendance au mensonge pouvant aller jusqu’à altération durable de la vérité et donc de la vie sociale. Il a été observé que le mythomane ment souvent parce qu’il craint la réaction (de dévalorisation, par exemple) qu’entraînerait l’aveu de la réalité ou plus exactement de sa réalité.

Cette pathologie entraîne un handicap social important dans les cas où les malades procèdent à des altérations majeures et pseudo-crédibles de la vérité. L’aveu étant souvent ou presque toujours accompagné de réactions négatives de l’entourage, la mythomanie tend à s’auto-entretenir. Contrairement au menteur, le mythomane n’est pas toujours conscient de son mensonge (Tartarin « ne ment pas ; il se trompe », écrit Daudet).

Il ne distingue pas clairement la réalité des événements issus de son imagination (voir l’article Pensée magique) et la réalité issue des faits scientifiques, historiques, sociaux.

Le phénomène est cependant normal dans la phase préadolescente : le jeune enfant se raconte comme étant vraies, des histoires totalement imaginaires. Ces mensonges ne sont pas intentionnels : l’enfant croit dans une certaine mesure à ce qu’il raconte. C’est là une étape normale et généralisée de l’enfance.

Mais quand cette tendance persiste après la fin de l’adolescence, elle est considérée comme un trouble du comportement. Elle est alors qualifiée de mythomanie et peut, elle reste si non traitée, annoncer un désordre psychiatrique plus grave : névrose ou même psychose.

S’il est armé, le mythomane peut faire courir de graves dangers à ceux qui ne reconnaissent pas ses délires, sa grandeur, voir à ceux qui représentent une entrave à la réalisation de ses pulsions matérialistes.

Ainsi disent les spécialistes, pour le "Mythomane", tous les moyens sont bons pour déguiser, falsifier ou tromper : les mensonges, les fables, les affabulations, les simulations, les récits pseudo-scientifiques.

Parfois le mythomane d’insincère qu’il est habituellement peut devenir sincère vis à vis de lui même et finalement se prendre à son propre jeu. Le but recherché l’est toujours de manière utilitaire : appât du gain, de la renommée, désir de s’imposer, de dominer.

Certains psychiatres voient dans la fabulation une tendance constitutionnelle ou innée qui pousse invariablement l’individu à travestir la vérité de manière permanente ou incoercible.

Il résulte de ces analyses tirées de dictionnaires médicaux, que la description faite de ces maladies caractérise précisément le comportement de bon nombre d’historiens, de philosophes et d’idéologues occidentaux dans leur rapport avec le reste du monde non-blanc.

Pour ces derniers, les Grecs seuls, en comptant sur leur seul génie, ont fait sortir des ténèbres le génie de l’humanité et avant ces derniers, il n’y avait qu’empirisme, prélogisme, pré-humanité, paganisme et polythéisme à travers toute la planète (sic).                                                                                                                          

Références bibliographiques:

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